sur
ARTE
jeudi 30 à 20h55
Indian Summers
Série dramatique
de Anand Tucker
Durée : 70 mn.
Saison 1. (1/10) Année de réalisation : 2015 (Grande-Bretagne)
Si vous avez raté le début:
En 1932, au pied de l'Himalaya, en plein crépuscule de l'Empire britannique, intrigues, passions secrètes et luttes pour l'indépendance se succèdent.
Résumé:
1932. Comme à chaque mousson, Ralph Whelan, jeune et ambitieux secrétaire particulier du vice-roi, fuit New Delhi avec toute l'administration britannique pour gagner Simla, au pied de l'Himalaya.
Cette année, sa jeune soeur Alice le rejoint en train, avec son bébé mais sans mari, lorsqu'un jeune métis, trouvé inconscient sur la voie, bloque le convoi.
Avec son assistante Leena, le missionnaire de l'école locale Dougie Raworth s'empresse de porter secours à l'enfant, au grand dam de Sarah, sa très nerveuse épouse.
Le soir à Simla, Cynthia Coffin, la propriétaire du British Club, joue les maîtresses de cérémonie pour célébrer le début de la saison. Mais un homme pénètre dans le jardin et ouvre le feu...
La première comparaison qui vient à l’esprit est bien sûr Downton Abbey puisque cette série BRITANIQUE est considérée comme la série phare des années 2000
Bon le POINT DE RÉFÉRENCE aujourd'hui est devenu DAWNTON ABBEY . . . On a aussi comparer la série " GRAND HÔTEL " alors que strictement rien , m^me pas les costumes , ne font penser à ce qui s'est fait de mieux c'est à dire DAWNTON ABBEY rien du tout
j'ai vraiment du mal avec les critiques
En réalité, Indian Summers renvoie plutôt à A Passage To India, le roman d’Edward Forster paru en 1924 et adapté au cinéma en 1984. je l'ai vu J 'ai A D O R É
Dans cette production – la plus coûteuse jamais développée par Channel 4 – on s’installe à cette époque où un empire se prépare à disparaître et une nation s’apprête à naître.
Les moyens dépensés (14 millions de livres sterling pour les sept premiers épisodes) se voient à chaque scène, à chaque plan.
La reconstitution est minutieuse, riche et patiente.
On se laisse entraîner quatre-vingts ans en arrière, à l’époque de George V et de l’Inde britannique.
La série évite une nostalgie qui n’a plus de raison d’être et s’attarde davantage sur l’histoire, les moeurs d’une époque et d’une caste de nantis expatriés.
Renouvelée pour une deuxième saison, Indian Summers se revendique clairement comme une fresque, dans laquelle malheureusement on n’entre pas tout à fait. moi je veux bien mais pourquoi passer la première saison et puis attendre 2 ans avant de voir la suite JE NE COMPRENDS PAS
je raconte :
L’histoire demarre en 1932. Au début de l’été. A cet instant de l’année où l’administration britannique fuit la touffeur des villes indiennes pour aller chercher la fraîcheur des contreforts de l’Hymalaya, à Simla. L’endroit a tout d’un paradis sur terre: une nature verdoyante, fleurie, multicolore sur un paysage vallonné et majestueux.
C’est de là qu’une « élite » britannique administre une colonie grande comme un sous-continent.
C’est aussi là qu’elle s’ennuie, qu’elle intrigue, qu’elle partage des ragots et qu’elle ne se rend pas compte que ses jours sont comptés.
On s’habitue si facilement à la servitude des autres qu’on a du mal à concevoir qu’elle n’est pas une disposition naturelle et durable.
Le « British Raj » a encore quelques années à vivre mais il est déjà condamné tant les privilèges dont bénéficie cette minuscule classe d’administrateurs paraissent d’un autre temps.
Sans qu’ils en prennent tout à fait la mesure la contestation gronde, les demandes d’indépendance s’expriment déjà et la collaboration de certains fonctionnaires locaux ou de la police ne sera pas suffisante pour éviter l’effondrement.
Suivant une technique assez classique mais toujours efficace, Indian Summers dresse le tableau général du contexte historique en s’appuyant sur une typologie de personnages. Le principal lieu d’animation de cette retraite d’été est le Royal Simla Club animé par Cynthia Coffin (Julie Walters). L’endroit ressemble à toutes les sociétés d’exilés: un monde en réduction dont les membres compensent leur éloignement du centre du pouvoir en se disant qu’ils jouissent d’une liberté unique.
Le personnage central est Ralph Whelan, secrétaire particulier de l’administrateur des Indes. Il est rejoint par sa soeur Alice, jeune mère ayant quitté la Grande-Bretagne pour échapper à un mariage compliqué. Elle est le personnage de la transition qui est en marche. Il y a aussi la maîtresse qui s’ennuie et tente de s’étourdir avec une aventure à la Emma Bovary. Elle est le personnage indispensable à ce genre de communauté, toujours présente comme si elle était fournie avec une forme de provincialité.
Par le train qui mène à Simla arrive un couple désuni, Dougie Raworth tenté par l’exotisme et l’envie d’aider le peuple indien et sa femme Sarah, une pimbêche raciste, coincée dans son conformisme et son besoin de reconnaissance. Elle incarne les résistances d’une société qui ne veut pas disparaître
Les Indiens sont représentés par Aafrin, un jeune fonctionnaire zélé pris dans un amour impossible avec une femme d’une autre caste et par sa soeur Sooni qui est déjà engagée dans la lutte pour l’indépendance. Leurs parents appartiennent à la génération prudente qui a connu les premières décennies du dominion.
Malgré cette mise en place soigneuse, distinguant les colons et les colonisés, on peine à s’attacher aux personnages et aux liens qui se sont nécessairement tressés entre les deux communautés. Non que l’histoire soit trop éloignée de la nôtre pour avoir un quelconque intérêt. L’ennui se situe plutôt dans une gestion parfois maladroite de certains rebondissements auxquels on ne parvient pas à croire.
Comme souvent, aussi, le principal intérêt réside dans ces moments où il ne se passe rien, dans ces situations en creux, vides, qui restituent l’atmosphère générale de désoeuvrement pour les uns et d’impatience pour les autres, cette frontière invisible et poreuse entre deux peuples qui n’ont ni l’un ni l’autre l’envie de vivre ensemble.
Au fond, le plus jubilatoire dans Indian Summers est d’observer l’aveuglement de la classe dirigeante et sa marche forcée vers sa perte. Il y a toujours quelque chose de passionnant dans l’effondrement d’un empire, dans le spectacle de la perte d’une situation que l’on considérait acquise, dans l’obligation de s’adapter au changement.
je dis wouahhhhh : J'ai vu hier soir . . . après le film quelques extraits . . . .et je dois dire que je pense passer de magnifiques jeudi soir
si comme moi , vous aimez les films anglais et d'époque je pense que nous allons passer quelques beaux jeudis
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je ne suis pas une cinéphile . . . mais pas DU TOUT . . . . je n' intellectualise pas du tout le cinéma ! Le cinéma est un DIVERTISSEMLENT
Donc pour moi EL MODOVARE ?
bof !
JE ne comprends jamais les engouements à son égard ni à l'égard de bien d'autres d'ailleurs
Hier soir ?
encore rien à la télé . . . ras le bol des rediffusions de samedi et pour moi qui suis TELEPHAGE ET TELEPHILE c'est dur dur
C'est alors avant de fermer que je me rabats toujours sur ARTE toujours ! Ou alors sur FR 5
je lis en bas de mon écran lasuite de mon programme : VOLVER
C'est quoi ? Qu'est ce que ça veut dire ? je regarde sur mon magazine : film de 2006 (pffffff) de Almodovar (re pffffffffffffffffff )
volver ? JE NE COMPRENDS PAS LE TITRE parce que c'est du ALMODOVAR c'est forcément bon ???? parce que c'est du Lelouch c'est forcément bon : je ne comprendrai jamais
enfin peu importe je ne vais pas rallumer l'ordi pour en savoir plus . . .de toutes façons c'est à la première image 8 fois sur 10 que je sais si le film va me plaire
et ça m'a plu
Date de sortie 19 mai 2006 (2h 01min) De Pedro Almodóvar
Synopsis
Madrid et les quartiers effervescents de la classe ouvrière, où les immigrés des différentes provinces espagnoles partagent leurs rêves, leur vie et leur fortune avec une multitude d'ethnies étrangères. (???)
Au sein de cette trame sociale, trois générations de femmes survivent au vent, au feu, et même à la mort, grâce à leur bonté, à leur audace et à une vitalité sans limites.
bref moi je ne ferais pas du tout ce genre de résumé et je n'ai pas envie de le faire non plus pour moi c'est pas ça du tout . . . vaut mieux que je ne m'y mette pas parfois je me demande si j'ai raté 30 minutes de film ou si j'ai regardé le même film
je n'ai pas cherché la soi-disant " brillance " du réalisateur parce que je m'en fou . . .
je n'ai ni pleuré ni ri où quand ????? je ne comprends pas (pourtant les critiques le disent)
je n'ai regardé que de belles images (ça oui) . . . un bon jeu d'acteurs (oui je n'ai jamais vu Penelope Cruz jouer ) . . .
je n'ai ressenti que des situations , des espaces , pour moi , un peu glauques et vides
je n'ai pas fermé l'oeil comme quand tout ça m'emmerde grave
je n'ai donc pas boudé mon plaisir
j'ai aimé ! et je vous le conseille