les quelques infos du jour
alors quoi IL FAUT LES PLAINDRE ?
pire ce ne sont pas des jeunes ils ont plus de 65 ans
n'a t -on pas insiste sur le fait qu'il fallait éviter de partir ? et EUX sont tellement plus fort que tout qu'ils sont partis . . . et bien qu'on les y laisse
Vingt touristes originaires de Lorraine, tous positifs au coronavirus, sont bloqués au Costa Rica depuis le 25 janvier dernier.
Sept d'entre eux sont hospitalisés, les 13 autres sont confinés dans leur hôtel.
Ils étaient partis en voyage le 16 janvier dernier dans ce pays qui n'exige aucun test PCR à l'entrée de son territoire. Dans l'intervalle, une nouvelle réglementation de leur compagnie aérienne ne leur a pas permis de monter à bord de leur avion retour. Depuis, ils sont tous contaminés et n'arrivent plus rentrer.
UNE BANDE DE DÉBILES INCONSCIENTS et on doit faire quelque chose pour eux ? . . . mais ils ont bravé les regles je suppose qu'ils ont crotiqué tous les rassemblements de jeunes à coté de chez eux ?????? honte à eux
C'est le deuxième voyage de groupe que Cécile Perez , responsable de l'agence Couleurs du monde, avait réussi à organiser en un an depuis la pandémie. Un groupe de 22 touristes lorrains, originaires de Metz, Thionville et Nancy, ont souscrit à un voyage organisé de 10 jours au Costa Rica, par le biais du Groupement d'action sociale de Moselle (GDAS) Orange et La Poste. Le pays d'Amérique central n'impose aucun test de dépistage du Covid à l'entrée sur son territoire. Les voyageurs sont donc partis sans avoir eu besoin de se faire dépister.
ça va être de la faute du CISTA RICA maintenant ?
Test antigénique imposé : des centaines de passagers refoulés
Pour rentrer en France, les 22 voyageurs se soumettent au test PCR. Il se révèle positif au coronavirus pour six d'entre eux. Les 16 autres se présentent à l'aéroport le 25 janvier, avec un test PCR négatif. Ils doivent faire escale aux Pays-Bas. Deux jours plus tôt, le gouvernement néerlandais a décidé d'imposer à tous les passagers voyageant par avion de fournir un test rapide (« antigénique ») négatif immédiatement avant leur départ, en plus du test PCR négatif déjà obligatoire à réaliser dans les 72 heures qui précèdent.
Plusieurs centaines de passagers sont refoulés, dont les 16 passagers lorrains. Problème : il est impossible de réaliser un test antigénique au Costa Rica, selon leur tour-opérateur.
Le virus importé depuis la France
Les touristes lorrains retournent à leur hôtel. Deux d'entre eux seulement, toujours testés négatifs, rentrent ensuite chez eux via un vol Air France, qui n'exige qu'un test PCR. Les 14 autres voyageurs qui s'étaient présentés à l'aéroport repassent un test PCR qui se révèle cette fois positif. Ce sont désormais 20 lorrains qui sont contaminés : " D'après ce que j'ai pu comprendre à l'hôpital, c'est un virus qui est français. Ils l'ont pris avec eux et se le sont passés pendant les 12 jours de vacances ", déclare Cécile Perez, la responsable de leur agence de voyages.
Sept touristes hospitalisés
Sept des 20 touristes sont hospitalisés au Costa Rica. Leur guide costaricain l'est également. Guy Poirot, âge de 65 ans, originaire de Metz, fait partie de l'un d'entre eux. Il est hospitalisé à San José, la capitale costaricaine, et sous oxygène depuis lundi soir : " Moi ça va bien, mais j'aimerais bien que le groupe puisse rentrer. Je n'ai pas de nouvelles des six autres à l’hôpital. La plupart ont autour de 65 ans."
Parmi les sept personnes à l'hôpital , trois autres messins : Armand, âgé de 75 ans, (autour de 65 c'est pas 75 ans si ???) et un couple de retraités âgé d'un soixantaine d'années. Leur fils a pu les contacter : " Ma mère s'en remet, mon père est endormi dans un état stable". Une dame de 72 ans, originaire de Pont-à-Mousson, qui vit aujourd'hui en Creuse, fait également partie des patients.
Les autres sont confinés dans leur hôtel depuis deux semaines. Certains n'ont pas de symptômes, mais les derniers tests PCR se révèlent toujours positifs : " On ne sait pas combien de temps ça va durer, combien de temps le test va continuer d'être positif ", commente Cécile Perez, à pied d'œuvre tous les jours pour essayer de dégager ses clients de cette situation.
CELUI QUI VA AU DANGER Y PERIRA disait ma grand mère ; c'est à cause d'inconscient pareils qu'on attrape LE VIRUS
Demande de rapatriement
Guy Poirot dit qu'il attendra le temps qu'il faudra, mais veut juste que ses co-voyageurs puissent rentrer : " Le Quai d'Orsay ne fait rien, dit-il. J'ai demandé à une attachée de presse de prévenir le maire de Thionville, le maire de Metz, le maire de Nancy, et le Président du conseil départemental de Moselle ainsi que les députés."
Qu'est ce qu'on fait si nous sommes toujours positifs au bout de 12 jours de confinement ? On tourne en rond - Christine, touriste confinée
tu n'avais qu'à rester chez toi tu y serais parfaitement bien et libre
Christine, originaire de Vandoeuvre-les-Nancy, avait réservé ce voyage de rêve il y a plus d'un an, et se mord les doigts d'être partie : " J'avais vu sur le site du ministère des Affaires étrangères qu'il était déconseillé de partir. MAIS ELLE EST PARTIE QUAND MËME c'est pas 20/ 30ans qu'elle a c'est plus de 65 ???????? Ce que je ne comprends pas, c'est que l'agence n'a pas exigé de tests PCR au départ, parce que le Costa Rica ne l’exigeait pas. Nous, nous l'avons fait de nous-mêmes, nous étions négatifs. Je conçois qu'on a pris des risques effectivement, mais il y a une grosse responsabilité de l'agence pour nous faire partir " , explique-t-elle. c'est toujours la faute des autres TOUJOURS
L'agence de voyages indique s'être conformée aux recommandations du ministère des Affaires étrangères, qui n'interdisait pas le départ vers cette destination : " Le Costa Rica est une destination ouverte depuis le mois de novembre, ce sont donc des conditions d'annulation classiques qui s'appliquent, précise Cécile Perez, de Couleurs du Monde, mais le responsable du groupe aurait pu demander un report du voyage ". En cas de test positif au Covid au départ, l'assurance prise par les voyageurs aurait également pu couvrir leurs frais d'annulation.
Christine indique avoir reçu une première réponse de la part du ministère des Affaires étrangères, qui se déclare incompétent dans le litige qui l'oppose à l'assurance du tour-opérateur.
et bien oui nous sommes à 2 pas de BRAY DUNES de DUNKERQUE
si avec tous ces gros titre on dit encore qu'on ne savait pas ??????
quand j'ai vu comme sont saccagés les sentiers balisés en bois c'est une honte . . . le monde est vraiment pourri on parle de notre environnement d'écologie de changement climatique je suis POUR BIEN ÉVIDEMMENT mais commençons tous CHEZ SOI et à COTE DE CHEZ SOI . . .
MOI JE VIENS DE DÉNONCER mon voisinage vous le savez j'ai posté ds photos . .. il vont recevoir la visite de la police et l'obligation de dégager : je reçois le courrier communal à l'instant
allez voir cette vidéo : c'est de la folie est ce le COVID ou LA PANDÉMIE ou les restrictions je ne sais mais des grands malades mentaux y en a plus dehors que dedans
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BIEN FAIT POUR ELLE . . . c'est de la DAUBE copy/ collé avec les USA et cette femme est une teigne . . .vraiment une teigne mal élevée . . . aucune éducation
je l'ai entendue en interview quand je pense qu'elle tape sur son oncle mais qu'avant elle savait mais n'avait jamais rien dit ?????
a lire
ICI ON NE PARLE PAS DE VACANCIERS
MAIS D'EXPATRIÉS DE PLUSIEURS PAYS D'EUROPE A wuang
Nicolas Cuvelier faisait partie des passagers.
JE N'OSE IMAGINER L'ÉTAT D'ESPRIT DE CES RAPPATTRIÉS
Ce Belge avait décidé de quitter Wuhan le jour où les supermarchés ont annoncé leur fermeture, signe que le confinement de la ville devenait désormais total : "On voyait vraiment tout qui se fermait progressivement. On nous a dit que la nourriture allait être livrée par l'armée. C'est à ce moment-là que moi, j'ai décidé de partir".
Dans l'avion, Nicolas a dû monter au second niveau, celui des asymptomatiques, parce qu'il avait des maux de tête. L'ambiance y était assez tendue : "Certaines personnes s'énervaient notamment parce qu'elles avaient peur de ceux qui semblaient malades. Je me rappelle qu'il y avait un Portugais assis à côté de moi. Il se lavait les mains à l'alcool toutes les cinq minutes. Dès que quelqu'un éternuait, il sursautait. C'était stressant."
Johan Smets et son épouse faisaient eux aussi partie du voyage. Johan avait rejoint sa femme qui était partie plus tôt que lui à Wuhan pour y fêter le Nouvel An chinois. "Il y avait du stress mais j'étais aussi soulagé de partir et de pouvoir rentrer chez moi. Si je refusais ce rapatriement, on m'a dit que je risquais d'être bloqué là-bas pendant des semaines, voire des mois".
Atterrissage à Istres
L'avion atterrit à l'aéroport militaire de Istres aux alentours de 15h. "Les français nous y attendaient pour faire un premier tri des malades et un check-up des analyses qui avaient été faites en amont à l'aéroport de Wuhan. Ils ont vérifié s'il y avait vraiment des cas graves ou pas".
Parmi les Belges, certains présentent des symptômes équivalant à ceux d'un rhume. Rien d'alarmant donc.
Les 9 Belges devront attendre le début de soirée pour prendre un deuxième avion en direction de l'aéroport de Melsbroek en Belgique.
A son bord, se trouvaient également des Danois, des Tchèques ou encore des Hollandais pour qui Melsbroek n'est donc pas la destination finale mais une transition de plus pour leur pays, qu'ils rejoindront via un autre vol ou par autocar.
Arrivée des Belges à Melsbroek : "La bascule, elle s'est faite ici"
A 21h, l'avion atterrit à l'aéroport de Melsbroek qui a dû aménager ses infrastructures en très peu de temps pour pouvoir prendre en charge ces personnes rapatriées et potentiellement infectées par le virus. "C'était une course contre la montre", explique le commandant Benoît Meurice, directeur adjoint de l'aéroport. Nous avons eu royalement trois jours pour tout installer. On a modifié l'infrastructure pour avoir une zone d'accueil de ces passagers dans le hall d'entrée de l'aéroport et trois tentes dans notre zone cargo initiale pour assurer un support psychosocial si nécessaire".
L'arrivée des Belges a profondément marqué les équipes de l'aéroport.
Pour le commandant Benoît Meurice : "C’est là qu’on s’est rendu compte qu’on est dedans. La machine est lancée. La bascule, elle s’est faite ici, à l'aéroport. Ça, c’est une chose que, personnellement, je retiendrai. A partir du moment où le premier vol estampillé Covid a eu lieu, c’était switch dans un nouveau monde. Tout a changé après".
C'est d'ailleurs à partir de cet instant que l'adjudante Chantal Limbourg, hôtesse d'accueil au checking, également présente ce jour-là, a décidé de commencer à s'isoler de ses proches; bien avant que notre gouvernement ne tire la sonnette d'alarme : "Après ce rapatriement, je me suis auto-confinée. Je trouvais que c'était important. J'ai envoyé un message à mes proches en disant que j'avais été en contact avec des gens qui revenaient de l'Asie. J'ai donc fait attention à garder mes distances au travail et à la maison". Pour elle aussi : "Il y a un avant et un après ce rapatriement".
En un an, les rapatriements de Belges depuis des zones infectées se sont multipliés à l'aéroport de Melsbroek. "On ne doit pas être loin de la quarantaine", précise Benoît Meurice.
Transfert vers l'hôpital militaire
Après avoir notamment profité d'un repas à l'aéroport militaire, les Belges sont invités à monter dans un autocar pour rejoindre l'hôpital militaire Reine Astrid. "On était escorté par la police", explique Johan Smets. "Ils ont fait un détour pour éviter la presse".
Arrivés à l'hôpital, le personnel les accueille un par un : "On a été conduits dans notre chambre. Et là, la quarantaine a commencé". Une quarantaine minutieusement préparée elle aussi : "Tout a été mis en place pour hospitaliser ces personnes", explique le lieutenant-colonel Patrick Soentjens, chef de service des maladies infectieuses à l'hôpital militaire. "Les mesures d'hygiène étaient très strictes. On avait mis en place une unité de quarantaine et autour de cette unité, une zone de sécurité pour éviter une éventuelle propagation du virus dans l'hôpital".
Si les procédures mises en place rassurent les membres du personnel, ces derniers ont naturellement une appréhension face à un virus inconnu : "Il y avait une crainte de l'attraper et on se demandait quelles conséquences cela avait sur le corps. C'était du stress pour notre propre santé et pour celle de nos proches".
Le lundi matin, les Belges sont soumis à une batterie de tests : "On a fait le fameux test PCR et c'était la première fois en Belgique. Les tests ont pris une journée pour être analysés", explique Patrick Soentjens. A 18h, les résultats tombent enfin. A la surprise générale, aucune des personnes semblant enrhumées n'est positive. C'est finalement un homme asymptomatique qui est diagnostiqué premier cas Covid-19 en Belgique. Suite à ce résultat, Patrick Soentjens et l'équipe médicale ont à nouveau dû agir très rapidement : "On a transféré le patient discrètement vers l'hôpital Saint-Pierre dans la soirée, pour préserver son identité".
Testés négatifs, les autres Belges peuvent quant à eux très vite sortir de leur chambre pour se balader dans la zone de quarantaine aménagée spécialement pour eux. Ordinateurs, revues et même une salle de gymnastique sont mis à leur disposition pour rendre le temps moins long. Car ce n'est que le 16 février qu'ils sortent de quarantaine.
Prise en charge du premier cas au CHU Saint-Pierre
C'est donc au CHU Saint-Pierre que le premier cas Covid-19 est admis. L'hôpital est en effet le centre de référence belge des maladies infectieuses telles qu'Ebola ou la tuberculose. Philip Soubry passera près de deux semaines dans une des 30 chambres à pression négative de l'hôpital et sera soumis à une série de tests. Malgré lui, il a permis à la Belgique de mieux comprendre cette maladie : "L'hospitalisation a été plutôt surréaliste puisqu'il était asymptomatique. Donc c'était compliqué pour lui. C'était lourd de rester enfermé. On avait décidé qu'on le laisserait sortir s'il avait deux tests PCR négatifs consécutifs". Mais à chaque fois que Philip Soubry obtient un test négatif et qu'il pense pouvoir bientôt sortir, le test suivant s'avère positif et détruit ses espoirs de sortie. "A l'époque, on connaissait moins bien les choses et donc on lui demandait énormément de contribution à la sciences. On le faisait cracher aussi, on lui faisait des examens des selles et d'urine tous les jours".
Philip Soubry pourra enfin sortir de quarantaine après deux tests PCR négatifs consécutifs le 15 février. Considéré comme guéri, il n'aura eu aucun symtôme du début à la fin de la maladie. Contacté par téléphone, Philip Soubry nous a expliqué être rentré rapidement à Wuhan où il habite avec son épouse et où il tente d'oublier cette mésaventure.
Mais au soulagement de Philip Soubry et des Belges rapatriés de l'hôpital se mêlent déjà l'inquiétude du personnel soignant face à l'arrivée attendue d'autres cas Covid-19. "On était déjà en train de constituer des stocks d'urgence de masques, de protections", explique le directeur du CHU Saint-Pierre, Philip Leroy. "On améliorait nos protocoles d'habillage du personnel soignant et de prise en charge des patients de ce type. Donc pour nous, c'était la très grande effervescence. Il y avait une espèce de dichotomie entre l'attention médiatique sur ce patient en particulier alors que nous, on était complétement tourné vers l'avenir, vers la préparation d'une crise qu'on pressentait". Même s'ils se doutent à cet instant que d'autres personnes infectées seraient hospitalisées, les membres du personnel de l'hôpital comme Michèle Bernard, hygiéniste, était loin de s'imaginer l'ampleur qu'allait prendre cette crise. "Quand le premier patient a été accueilli ici, on ne s’attendait pas à ce qu’un an plus tard, il y ait toujours deux unités remplies de patients Covid et que les équipements de protection fassent encore partie de notre quotidien, en particulier le masque qu'on ne quitte que quand on va dormir".
Un sentiment partagé par Dany Roemers, infirmier au CHU Saint-Pierre : "On ne s'attendait pas à ce tsunami. Cela a été très difficile. L'exemple est peut-être fort mais personnellement, je l'ai vécu comme une guerre".
tout viendrait de produits congelés venant d'ailleurs que de chine ??????? en attendant on est bel et bien dans le caca ET POUR TRES LONGTEMPS ENCORE