je viens d'aller voir les critiques des téléspectateurs en France : les gens n'ont pas vu et pourtant ILS CRITIQUENT c'est inimaginable çà / MAIS pourquoi ? c'est un truc de dingue quand même
eT là je me dis : " si l'histoire ? OU DES LES FAITS QUE SE SONT AINSI DÉROULÉS COMME JE VAIS LE RACONTER - nE SONT BASES que sur des témoignages aussi aléatoires et fous ?" BON?JOUR . . .
Là comme d'hab je passe du coq à l'ane mais ce "mode de fonctionnement humain " me rend dingue aussi
j'ai un peu peur de ce que je lis de ce qu'on raconte de ce qui se dit :
mon père me le répétait toujours : méfie- toi de ce tu lis dans les journaux de ce qu'on te dit aux infos . . . d'autant que : quand mon petit frère de 22 mois s'est noyé , tout et son contraire a été raconté relaté et décrit d'une façon différente dans les journaux différents . . . c'est une honte
autre exemple : hier aux enfants de la télé ils parlaient pour la cent millième fois des bronzes : on nous fait écouter un doc de chez REICHMAN une femme parler du film "DES BRONZES FONT DU SKI " et surtout c'est d'elle qu'elle parle . . . et après ce petit reportage PATRICE LECOMTE de dire : "mais c'est une folle cette femme OU - CETTE FEMME EST FOLLE - " . .. rien n'avait de sens
Et bien c'est pareil pour tout . . . les gens ne racontent que des cracks . . . ils mentent avec un aplomb surréaliste . . . j'en ai dans ma famille wouahhhh des pas mal non plus . . . et ces gens me font peur . . . Tiens : je me souviens d'une cousine un peu . . . simple . . . déposer son témoignage à charge en ce qui concernait un accident de voiture d'un autre petit cousin qu'elle détestait à qui elle voulait faire du mal alors qu'elle était dans sa cuisine (ou au bar) . . . pourtant la déposition a été faite alors qu'elle était sans fondement mais ça reste dans le dossier
méfiez- vous de tous et de tout le monde
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nous avons déjà vu la semaine dernière sur la RTBF 1
la série
Le BaZaR De La CHaRiTé
parlons d'abord d'histoire
l'histoire vraie de ce terrible fait divers
nous avons connu pire en Belgique avec l'incendie de l'INNOVATION 22 mai 1967 (un grand magasin tel les galeries Lafayettes) et où ont péri 251 personnes et fit 62 blessés. Plus de 150 pompiers furent mobilisés pour le combattre. Un deuil national fut proclamé en Belgique.
Oui TOUT LE MONDE (moi la premiere ) a encore cette catastrophe en tête . . . je vous en parle évidemment sur ce blog catégorie LES C A LIRE
Le Bazar de la Charité est une vente de bienfaisance mise sur pied en 1885 par le financier Henri Blount .
Le principe en était de vendre des objets — lingerie et colifichets divers —, au profit des plus démunis.
le Bazar fut le théâtre, le 4 MAI 1897 , d'un dramatiqu INCENDIE causé par la combustion des vapeurs de l 'ETHER utilisée pour alimenter la lampe du projecteur du cinématographe .
La catastrophe coûte la vie à plus de 120 personnes, la plupart étant des femmes charitables issues de la haute société parisienne.
Ce terrain était alors occupé par un hangar en PITCHPIN de quatre-vingts mètres de long sur treize de large, loué le 20 mars 1897 par le baron de Mackau
Le 6 avril 1897, le baron de Mackau réunit les responsables du Bazar de la Charité et leur annonce que le Bazar sera décoré pour représenter une rue de Paris au Moyen Âge avec ses éventaires, ses échoppes aux enseignes pittoresques, ses étages en trompe-l'œil, ses murs tapissés de lierre et de feuillage.
En prime, le Bazar proposera, sous un appentis, un spectacle de cinématographe où l'on pourra, pour cinquante centimes, voir les images animées des Frères Lumière
Le bâtiment est organisé de la façon suivante : une porte à double battant ouvre sur une vaste allée, bordée de vingt-deux comptoirs en bois, d’une longueur de 80 mètres ; à gauche de l’entrée, une loggia accueille les bureaux, à droite se trouve le « salon des dames ».
Les comptoirs portent des noms évocateurs : « À la tour de Nesle », « À la truie qui file », « Au lion d’or », « Au chat botté ». Face à l’entrée se trouve un buffet, assorti d’une cuisine et d’une cave.
L’arrière du hangar donne sur une cour intérieure, bordée par l’« Hôtel du Palais » ; adossé à la façade arrière du hangar se trouve un local abritant le cinématographe
Les ventes sont organisées pour avoir lieu les 3, 4, 5 et 6 mai 1897. Les comptoirs sont tenus par des dames appartenant à la plus haute aristocratie française ou à la grande bourgeoisie.
Le Bazar est béni à 15 heures : celui-ci, après un tour rapide, s'en va sans que la foule qui se presse là s'en rende bien compte.
C’est une série sur laquelle on n’aurait pas parié. c'est ce que disent les critiques ici Il faut dire que les fictions dites “en costume” sont souvent reléguées à la case du dimanche après-midi pluvieux en compagnie du chat ou de mamie, c’est selon. Et moi je n'aime que ça et je pense exactement le contraire SINON expliquez moi donc le succes de DOWNTON ABBEY
Mais comme nous lui consacrons deux pages, il faut bien avouer qu’on a vu en Le Bazar de la Charité plus qu’une petite série française d’époque. Démonstration.
L’action commence le 4 mai 1897 à Paris. Ce jour-là se tient une vente de bienfaisance au Bazar de la Charité, réunissant tout le gratin parisien. Lorsqu’un incendie se déclenche dans la salle du cinématographe, le grand hangar construit uniquement en pin ne résiste pas longtemps aux flammes. L’évacuation du bâtiment par l’unique porte (tournante) est trop lente pour sauver tous les occupants. 124 personnes y perdent la vie et la majorité des victimes sont des femmes.
le premier épisode que le feu le feu le feu et une musique insupportable ensuite aucun acteur n'est crédible ceci ce n'est que moi qui le dit
Si vous êtes un passionné d’histoire, vous savez que, oui, ce terrible incident a bien eu lieu.
Frappées par ce drame historique, les scénaristes Catherine Ramberg et Karine Spreuzkouski écrivent Le Bazar de la Charité, une série en huit épisodes qui, à partir de cet incendie, raconte les histoires de trois femmes.
L’une est bourgeoise et coincée dans un mariage sans amour (Audrey Fleurot).
L’autre est sa nièce, en passe de se marier à un riche prétendant (Camille Lou). (????)
La dernière est sa bonne, sur le point de partir vivre la grande vie à New York (Julie de Bona).
Leurs projets seront évidemment mis à mal par cet événement traumatique.
Du feu en plateau
Pour faire vivre le drame aux spectateurs, la production n’a pas lésiné sur les moyens. Tourné aux Studios de Bry-sur-Marne, en région Île-de-France, le premier épisode est une longue et terrifiante reconstitution de l’incendie. (c'est incroyablement mal joué vraiment aucune credibilité)
“On a passé 50 % du temps des sept mois de préparation à parler de ce feu et à comment on allait le réaliser. Il fallait d’abord trouver un studio qui accepterait de le faire. En France, jamais un feu si grand n’avait été recons-titué dans un studio”, explique le réalisateur Alexandre Laurent (La Mante) lors d’une ren- contre presse au Festival de La Rochelle.
Après deux refus d’experts, une solution est finalement trouvée: deux énormes ventilateurs accrochés au plafond seront actionnés entre chaque prise pour désenfumer le studio. Un détecteur de monoxyde de carbone est aussi installé et la durée des prises n’excède pas les 33 secondes. Passé ce délai, la chaleur était trop forte, tant pour l’équipe technique que pour les actrices, au centre des flammes.
“Ça faisait très peur, on était très près du feu et la chaleur qui s’en dégageait était impressionnante, raconte Camille Lou. Pendant les scènes, je me rappelais que ça s’était réellement passé, ce qui fait que je n’arrivais pas à m’arrêter de pleurer tellement je trouvais ça bouleversant et horrible.”
Passé ce premier épisode rempli de flammes, de cris et de larmes (et qui en fait des caisses, avouons-le) (oui de fait) , la série prend son envol narratif dès le deuxième épisode pour raconter les trois destins de ses héroïnes.
Car plus que raconter un événement historique, Le Bazar de la Charité s’intéresse à la condition des femmes dans le Paris de la fin du XIXe.
C’est grâce à cette direction claire que la série ne s’embourbe pas dans les menus détails d’un fait historique suranné et nous emporte avec elle dans son récit rocambolesque.
“Les problématiques des héroïnes font écho à des problématiques actuelles: encore aujourd’hui, certaines femmes ne peuvent pas aimer qui elles veulent ou vivent sous la coupe de leur mari", explique la productrice Iris Bucher. "Les mots d’ordre étaient: résonance avec aujourd’hui et comment faire d’un drame en costume une série contemporaine.”
À la page
Cette modernité, on la retrouve autant dans la réalisation d’Alexandre Laurent que dans l’écriture des dialogues. Ici, pas de vouvoiement ni de phrasé théâtral. Les personnages parlent “normalement”, se tutoient et nous épargnent les phrases alambiquées. “La limite c’était “Ouais gros” ”, plaisante le réalisateur.
Cette vision contemporaine de l’époque a d’abord surpris Audrey Fleurot, habituée au maintien langagier et corporel d’Un village français.
“Au début, ça m’a fait bizarre, mais comme tout est traité comme ça, cela devient cohérent. Il y a une forme d’intemporalité. On a beau porter le corset, on s’est autorisées à parler de façon plus contemporaine. (??? on se demande pourquoi ça fait tellment de bien plutot que "putain" à tout bout de champs et il y a quelques incohérences dingues ) C’était une vraie volonté, et je dois dire que c’est une réussite. Les séries d’époque peuvent faire peur, car on a peur que ce soit ennuyeux et poussiéreux. Or là, il y a un côté assez rock qui me plaît beaucoup”, se réjouit l’actrice.
Pour mettre ses comédiens dans l’ambiance, Alexandre Laurent n’hésite pas non plus à user de sa voix et de musique dans les studios, le son étant refait en postproduction. “Il hurlait pendant les prises, il mettait la musique à fond, c’est un fou furieux! Je n’ai jamais été dirigé comme ça!”, se souvient Antoine Duléry qui joue le père de Camille Lou. “Il me faisait les cris des femmes qui mouraient pendant la scène!”, explique cette dernière.
il aurait du stopper la musique (c'est mon avis)
avec Le Bazar de la charité TF1 renoue avec la tradition des séries d'époque en costumes, en vogue outre-Manche (The Crown, Downton Abbey ) ils ne vont quand même pas comparer avec DOWNTON j'espère ???? , et nous en met plein les yeux. PAS LES MIENS EN TOUS CAS NI CEUX DE MA KINÉ QUI EST FOLLE DE CINÉMA ET NOUS AVONS PENSÉ LA MËME CHOSE
Moderne dans ses dialogues - POURQUOI ETRE MODERNE DANS UN FILM D'ÉOQUE ???? - et dans sa mise en scène, balayée par un souffle épique, et visuellement époustouflante est ce que TF1 a proposé de plus ambitieux en terme de fiction jusqu'à présent. Et le budget conséquent de 2 millions d'euros par épisode se voit à l'écran. et moi je me suis retrouvée immédiatement dans des décors bien visibles et la fin de l'incendie qui se termine au dessu de la fleche de violet LEDUC de NOTRE DAME ????? c'était avant l'incendie de Notre Dame ou après que ça a été tourné ?????
Ensuite souvenez vous de la série PROFILAGE - le lieu de tournage au commissariat qui se trouve au bord de la seine - ? c'est le meme endroit et ça me dérange terriblement
Oui dans un film ce qui m'interesse :
c'est l'histoire
c'est le jeu d'acteurs et les acteurs (ici rien n'est plausible on retrouve julie de Bona partout dans les séries c'est usant )
ce sont les images d'intérieur et extérieurs
ce sont les costumes (surtout ceux de 1930 . . .1950)
et je reconnais toujours les endroits ou ils tournent : toujours
maintenant à vous de voir et de faire votre propre avis sur cette série qui pour lmoi n'est pas traitée comme elle aurait du bref je ne suis pas pressée de voir la suite
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et aussi
J'ai regardé pour la seconde fois
samedi sur la RTBF 1 le film
IMITATION GAME
et je vous le conseil évidemment
En savoir plus ?
oui alors allez dans catégorie " c'est à voir " : ce sera complet
c'est aussi en COSTUME
2 d'entre eux sont des acteurs de DOWNTON
il passera chez vous cette semaine je pense : regardez- le